Mauritius

Immigration History from Mauritius to Victoria

In the early 1800s Australia established an enduring trade relationship with Mauritius, based on the import of Mauritian sugar. Mauritian merchants, seamen and their families began to settle in Australia, and merchant vessels brought Mauritian convicts with their cargo. Ties between Mauritius and Australia were strengthened by the Catholic Church in Australia, which was administered from Mauritius between 1820 and 1834.

Early Mauritian settlers included Marie Emilie Blanchard, who arrived in 1829 and married Frederick Manton, builder of the first iron steamer in Melbourne.

The Victorian gold rushes of the 1850s saw the arrival of highly organised Mauritian companies. However, many of these gold-seekers soon returned home after little success on the goldfields. In the late 19th century, the weakening sugar industry in Mauritius saw Mauritian ‘sugar men’ settle in Australia and contribute significantly to the establishment of the sugar industry in Queensland. In Victoria, the population peaked at 288 in 1891.

After Federation in 1901, the Mauritian population in Australia declined, and by 1947 only 59 Victorians were Mauritius-born. The trend changed in the post-war period, with Mauritian immigration peaking during the late 1960s, coinciding with the country’s declaration of independence in 1968. By 1971, Victoria was home to the largest population of Mauritius-born immigrants in Australia, with 3,791 people. Their population continued to grow until the early 1990s.

In 2016, Victoria still had the largest Mauritius-born community in Australia with 11,814 members. This mainly French-speaking, catholic population is based in Hampton Park, Noble Park, Endeavour Hills, Narre Warren and Dandenong. Of those employed 52% are engaged in clerical, sales and service roles while a further 28% work in professional roles. Although many Mauritians participate in the activities of the broader French community, they also have their own distinct identity, born out of a mix of African, Malagasy, Indian, Chinese and French cultures.

Immigration History from Mauritius (French) to Victoria

Au début des années 1800, l’Australie établit des relations commerciales durables avec l’île Maurice, fondées sur l’importation du sucre mauricien. Les négociants et les marins mauriciens et leurs familles commencèrent à s’installer en Australie, et des navires marchands amenèrent des bagnards mauriciens avec leur cargaison. Les liens entre Maurice et l’Australie étaient renforcés par l’Église catholique d’Australie, administrée depuis Maurice entre 1820 et 1834.

Parmi les premiers colons mauriciens figurait Marie Émilie Blanchard, qui arriva en 1829 et épousa Frederick Manton, le constructeur du premier bateau à vapeur de Melbourne.

Les ruées vers l’or du Victoria des années 1850 virent l’arrivée de sociétés mauriciennes parfaitement organisées. Cependant, nombre de ces chercheurs d’or ne tardèrent pas à rentrer chez eux, après un médiocre succès sur les champs aurifères. À la fin du 19e siècle, l’affaiblissement de l’industrie sucrière mauricienne causa l’installation de « travailleurs du sucre » mauriciens en Australie et contribua notablement à l’établissement de l’industrie sucrière dans le Queensland. Dans le Victoria, la population atteignit 288 en 1891.

Après la création de la Fédération en 1901, la population mauricienne en Australie déclina, et en 1947 seuls 59 habitants du Victoria étaient natifs de Maurice. Cette tendance s’inversa après-guerre, et l’immigration en provenance de Maurice atteignit son apogée à la fin des années 1960, coïncidant avec la déclaration d’indépendance du pays en 1968. Dès 1971, le Victoria comptait le plus grand nombre d’immigrants nés à Maurice de toute l’Australie, soit 3 791 personnes. Leur population continua de croître jusqu’au début des années 1990.

En 2011, le Victoria avait toujours la plus grande communauté née à Maurice de toute l’Australie, avec 11600 membres. Cette population principalement francophone et catholique est installée à Hampton Park, Noble Park, Endeavour Hills, Narre Warren et Dandenong. Parmi les personnes actives, 52 % travaillent comme employés de bureau, dans la vente ou dans les services et 28 % exercent une profession libérale. Même si de nombreux Mauriciens participent aux activités de la communauté française au sens large, ils possèdent également leur propre identité distincte, au creuset des cultures africaine, malgache, indienne, chinoise et française.

Average Age

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics

Age Distribution

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics

Population

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics

Gender split for  

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics

Occupations

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics

Religions

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics

Languages

Dataset: Mauritius Source: Australian Bureau of Statistics